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Marketing

Personas et clientèle-cible · Étude de cas #1

Capsule vidéo
courtepointe de Marilyn B. Armand

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Temps de lecture : < 1 minute

Dans le cadre de l’édition virtuelle de la Tournée des artisans ayant pour thème « Définir sa clientèle-cible : à la base d’un marketing efficace », nous nous sommes entretenues avec les panélistes invité·e·s. Quatre études de cas ont été réalisées pour vous inspirer et vous outiller avec les démarches de ces généreux·euses artisan·e·s entrepreneur·e·s. 

Courtepointière, Marilyne B. Armand a fondé l’entreprise Le point visible en 2018. À partir de matières récupérées et surcyclées, elle crée des courtepointes de style moderne dans son atelier de couture situé dans la charmante municipalité de Bedford en Montérégie, où elle évolue au sein de la foisonnante communauté des Bedford Lofts.

Lorsqu’elle a mis sur pied Le point visible, les courtepointes étaient davantage populaires aux États-Unis qu’au Canada. Bien que Bedford se situe à quelques pas de la frontière des États-Unis, Marilyn a toutefois trouvé sa clientèle-cible à Montréal. Pour la définir, elle a recours à des personas : Anabelle, femme âgée de 32 ans, diplômée d’une école de design, représente le premier persona. Au fil des rencontres que la courtepointière a eues avec ses client·e·s dans les événements, rincipalement dans les salons et marchés publics, elle a constaté que ses produits étaient prisés par « Isabelle », résidente du quartier de Rosemont, professionnelle établie, âgée de 44 ans.

Elle oriente désormais davantage ses communications vers cette dernière, qui est plus présente sur Facebook qu’Instagram. L’entrepreneure souligne en ce sens l’importance de ne pas couler dans le béton ses personas, de plutôt les adapter dans le temps selon la rétroaction obtenue. 

Vous pouvez consulter la capsule Clientèle-cible · Étude de cas #2 ici.

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